L’eau rappelle les origines et c’est un élément permanent dans les perspectives des espaces créés.
Depuis longtemps je privilégie le corps dans ma peinture. Le corps dans tous ses états, brossé sans concession; je suis à la recherche d’une image.
Ce que je représente est le fruit de l’imaginaire car comment accéder au réel ?
De ce fait les créations naissent à travers différents filtres : le regard, les champs de l’âme et des émotions.
Mes peintures peuvent surprendre et j’attends qu’elles interrogent ; c’est moi qui le suis en premier lieu.
Le corps dansant m’intéresse.
Je cherche le mouvement primordial, intérieur, à l’origine de tout ce qui est vivant; celui qui mène au centre de soi et nous guide vers un état de « grâce » ; celle-ci est propre à chacun et n’est pas forcément celle que l’on croit.
C’est une quête incessante en peinture …
Anne Lerognon reprend la présentation du retable médiéval. Il y a sur la prédelle une scène antérieure à celle du panneau central qui pourraient être placés tous deux derrière l’autel des émotions.
Il reste dans les fonds de tiroirs une photo jaunie, un article de presse, une attache, un bout de ficelle, un peu de sable et des humeurs des années passées … C’est le début d’une peinture dans un réel tiroir.
Albertine est issue d’une recherche plastique, et c’est aussi le nom d’une de mes grand-mères. Albertine est à la rencontre des femmes de ma lignée. Je cherche leur profondeur et tente de reconstituer leur histoire.
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